La présence virtuelle avant la naissance et après la mort
Mémoire, identité et espace de vie dans Marx et la poupée de Maryam Madjidi et Le Fils de Michel Rostain
DOI:
https://doi.org/10.15460/apropos.14.2263Palabras clave:
Voix narrative/Narrateur, mémoire, identité, exil, deuilResumen
Les voix narratives dans l’autofiction Marx et la poupée (2017) de Maryam Madjidi et la biofiction Le Fils (2011) de Michel Rostain partagent une particularité, à savoir leur présence virtuelle dans les mondes racontés : l’une, non née, prend la parole dans le ventre de sa mère, tandis que l’autre, déjà morte, vient de l’au-delà. De cette manière, les deux jettent un « autre » regard sur les traumatismes du passé, la mémoire individuelle et collective, la (re-)construction de l’identité, ainsi que la vie humaine en général. Cet article étudie la réciprocité spatiale entre la présence et la virtualité dans les deux œuvres, qui ont remporté le Prix Goncourt du Premier Roman, notamment en raison de leur voix narrative distinctive.
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